Les élections en Belgique ont confirmé la détermination vers l'éclatement de cet état sympatique mais artificiel. Si une tendance d'extrême droite fait son lit de l'indépendantisme, les causes du malaise blege sont connues et reconnues. Deux cultures et deux langues différentes qui s'affrontent pour la possession du pouvoir. Je n'oublie pas la troisième minorité, les allemands, ni le véritable casse-tête de Bruxelles.
Comment gérer le militantisme indépendantiste qui tendrait à soutenir les Flamands dans leur lutte pour l'indépendance et le militantisme francophone qui habite chaque Jurassien?
Choix cornélien qui finalement sera opéré par d'autres, mais qui n'empêche pas d'en débattre!